Du 13 au 20 octobre, le Luxembourg Open investira une nouvelle fois les installations de Kockelscheuer.
Et pour l’heure, «on est à la pêche», sourie Dan Maas, la directrice du Luxembourg Open, au côté de Jacqueline Olsem, la coordinatrice de l’événement. À la pêche aux joueuses du côté de Wimbledon. Et il y a de gros poissons au bout de la ligne ? «Il y en a, oui. Dont une qu’on devrait annoncer mardi, lors de notre prochaine conférence de presse. On attend encore un dernier ‘go’…»
Un poisson aussi gros que Sloane Stephens, la 4e joueuse mondiale, le premier nom qui avait été dévoilé en mai ? «Je pense, glisse, sans en dire plus, la directrice. Après, on regarde également si on ne pourrait pas trouver une belle petite truite à présenter lors de la dernière conférence de presse prévue en septembre…» Histoire de faire plaisir à un public qui se déplace toujours en nombre.
On peut constater que l’élimination de Sloane Stephens dès son entrée en lice à Londres n’est pas forcément une mauvaise chose pour le tournoi luxembourgeois. Car si la jeune Américaine venait à terminer dans le top 8 de la saison et était, ainsi, qualifiée pour le Masters de Singapour, elle devrait faire l’impasse sur le Luxembourg, le rendez-vous asiatique débutant le 21 octobre, le lendemain de la finale de Kockelscheuer.
Julien Carette