Poursuivi notamment pour attentats à la pudeur et viol sur sa belle-fille mineure entre 2006 et 2014, un quinquagénaire comparaissait depuis mardi devant la 13e chambre criminelle de Luxembourg. Jeudi, le parquet a requis huit ans de réclusion à l’encontre du prévenu, mais ne s’oppose pas à ce qu’une partie de la peine soit assortie du sursis.
« Les déclarations de la belle-fille sont claires et constantes », estime le substitut. L’avocat de la partie civile, représentant la victime, quant à lui réclame 57 500 euros de dommages et intérêts.
Dans sa plaidoirie, l’avocat du prévenu, M e Roland Michel a demandé que son client se soumette à un détecteur de mensonges.
Prononcé le 4 mai. Désormais le quinquagénaire comparaît pour les menaces qu’il a proférées contre sa désormais ex-femme et le copain de sa belle-fille devant la chambre correctionnelle.
Fabienne Armborst